M. Albert Voilquin demande à M. le Premier ministre si, au moment où les dirigeants allemands issus de la réunification étudient l'intégration de la future armée dans l'OTAN, après accord avec les Soviétiques, cinquante ans après notre défaite, quarante-cinq ans après notre victoire, la décision prise en son temps d'interdire l'usage du nucléaire à des fins militaires à l'Allemagne sera maintenue, comme cela a été rappelé à maintes reprises.