M. Albert Voilquin attire l'attention de M. le ministre d'Etat, ministre de la fonction publique et des réformes administratives, sur le premier train de mesures entrant en application le 1er août 1990, conformément à l'accord du 3 février et améliorant le déroulement de carrière de plusieurs catégories de fonctionnaires, dont un tiers environ de l'éducation nationale.
Il lui demande les raisons pour lesquelles policiers, militaires, surveillants de l'administration pénitentiaire (ces derniers ayant été particulièrement oubliés) ne figurent pas dans ces catégories ci-dessus mentionnées. Il s'agit là d'un oubli, même involontaire, qui mérite une explication valable, les services de personnels intéressés n'ayant certainement pas été mis dans la possibilité de faire face à l'engagement gouvernemental. Il y a là une discrimination apparente qui pénalise les catégories intéressées.