M. Charles-Henri de Cossé-Brissac attire l'attention de M. le ministre délégué à la santé sur les inquiétudes exprimées par les cardiologues à propos de la suppression du remboursement de certains examens. Ils craignent en effet que les récentes décisions, prises sans concertation préalable avec la profession, n'aient des conséquences dangereuses pour les patients, sans pour autant conduire à une réduction importante des dépenses de santé.
Il s'agit, entre autres, d'examens simples et peu coûteux, qui évitent d'autres investigations plus complexes et plus onéreuses. Il lui demande de rassurer la profession en annulant les mesures récemment prises et en envisageant, avec les représentants des professions de santé, une nouvelle concertation sur ce sujet.