M. André Fosset demande à M. le ministre d'Etat, ministre des affaires étrangères, si la France n'envisage pas d'intervenir afin que le Maroc mette fin à la situation actuelle de la famille Oufkir. Puisque la France est le pays des droits de l'homme, il lui demande la nature des interventions qu'il envisage de faire afin que " la bonne nouvelle " dont s'étaient réjouis le ministre de l'intérieur d'alors et d'autres membres du Gouvernement français (Le Monde du 2 mars), à propos de la " libération " de la famille Oufkir, soit une réalité effective.