M. Michel Alloncle attire l'attention de M. le secrétaire d'Etat aux anciens combattants et victimes de guerre sur l'absence de revalorisation en 1991 du plafond bénéficiant de la participation de l'Etat dans le cadre de la constitution de la retraite mutualiste du combattant avec participation de l'Etat.
Il lui demande si, dans la loi de finances pour 1992, ce plafond ne pourrait pas être porté à un taux correspondant à l'augmentation du coût de la vie et à un rattrapage de l'année 1991. Il souhaiterait également savoir si une revalorisation annuelle systématique de ce plafond ne devrait pas être envisagée pour l'avenir.