M. Olivier Roux attire l'attention de M. le secrétaire d'Etat aux anciens combattants et victimes de guerre sur le profond mécontentement des associations représentatives des anciens combattants, suite à l'absence de revalorisation, en 1991, du plafond bénéficiant de la participation de l'Etat en matière de retraite mutualiste du combattant.
Il lui demande en conséquence de bien vouloir lui indiquer si le Gouvernement a l'intention, d'une part, de porter ce plafond à 6 500 francs dans le cadre de la prochaine loi de finances, et d'autre part, d'instaurer une réévaluation annuelle systématique du plafond en cause.